qu’il nomme Laodicé l.38.c.1 et n. d’avoir eu 2 = fils seul. ~~ce qui est dit par Val.Max.De xxx Bérénice~~ Quell= e faute de marquer comme fait ce Pere vis à vis l’an de R.664 comme si= les femmes d’Antiochus Soter n’avaient pas vécu vers l’= ;an de R.500. Avec cela il a quelque raison de critiquer Oliverius, car ce q[ue= ] dit Justin de la sœur de Mithridate Laodice ne convient pas à ce qu’il conte V.Max. Le p. Hardoin in Plin. l.7.c. 12. p. 25 dit ex Polyœno que Laodice femme d’Antiochus Theus était sa prop= re sœur , fille d’Antiochus Soter. Le p.Cantet a donc tort de la fa= ire sœur de Bérénice et p.446 et 460. Les fautes d’Hofmann so= nt de dire 1° que Bérénice dont parle Juvenal Saty.6 ait été fille d’Hérode l’Ascalonite, et femme = de son frère Agrippa, 2° xxx qu’elle est différente de celle aimée par Titus (car il fait de celle-ci un article particulier plus bas) celle dont Juvénal parle est la même que Tite aima, = est fille d’Agrippa 1 du nom, et ne peut pas être dite femme de son frère Agrippa II On causa seulement de leurs amours 3° de citer = pour elle Strabon li. 16 qui ne parle que de la fille de Salomé dont Hofm= an parle après, 4° et le li. des Actes xxx.25 et 26 immédiatement après avoir dit qu’elle était venue à Jerusal. p[ou]r y ~~faire~~ accomplir des vœux nue et rasée. Il est bien parlé au l.des ailes de Béré= nice fille d’Agrippa 1. du nom mais non pas d’aucune qui fust femme d’Agrippa, et moins qu’elle fut nuds pieds ex. voto 5° Jose= ph qu’on cite de bell. Li.2 (adde cap.26) parle bien de ces vœux ma= is il les attribue à celle qui était fille d’Agrippa I et xxxxxx ne dit pas qu’on vint en Jérusalem nu et la tête rasée, mais qu’on y demeurait 30 jo. en prières, et abstinences de vin, se faisant raser avant qu’offrir ses sacrifices. Lloyd fait la 1 et 5 faute de Hof. Ch.Et. n’applique le passage de Juvénal qu’à une sœur d’Agrippa R.des Juifs, mais d’ailleurs c’est lui qui&= nbsp;

[page 23 B]

a fourni une Bérénice fille d’Hérode l’Ascalonite et femme de son frère Agrippa. Il est vrai que les mots latins dont il se sert quæ nupsit cum Agrippæ fratis, et c= eux de Lloyd et de Hofm. Agrippæ fratris uxor peuvent expliquer qu’elle épousa le frère d’Agrippa, ce qui est vrai de Bérénice fil= le d’Agrippa I sœur d’Agrippa II aimée de Tite, car el= le fut mariée en 1 noces à Hérode R.de Calcide, mais les = vers de Juvénal cités d’abord par Lloyd et Hofm. font voir qu’ils ont entendu qu’elle était mariée à = son frère Agrippa, comme l’a dit J.Chrysostome (v. Noldius p.404) = On dirait que Ch.Et.a été ~~trompé~~ persuadé p= ar le passage qu’il cite de Strabon qu’il y a eu une Bérénice fille d’Hérode xxx l’Ascalonite o= u le Grand, quoi qu’il soit aisé de voir qu’elle est dite fil= le de Salomé, et qu’il ne fallait pas faire 2 articles de celle-là, et de la fille de Salomé comme apud Ch. Et. Il fait dire et plusieurs dictionn. aussi à Pline l.6 c.29. p.m. 733 plus qu’il ne dit, savoir que Ptol. Philadelphe fit bâtir Bérénice sur la mer Rouge et la nomma du nom de sa mèr= e, car Pline dit seulem[en]t que cette ville portait le nom de la mère = de Philadelphe.